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École élémentaire "Le Paloisel"

5, avenue du Paloisel - 77380 Combs-la-Ville

Tél. & fax : 01.60.60.71.12 - e-mail : web.0771370w@ac-creteil.fr

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Combs-la-Ville fait partie de la Brie Française dont le cœur historique est Brie-Comte-Robert, et qui forme pour l’essentiel, l’ouest du département de la Seine et Marne, avec pour limites, la Marne au nord, et la Seine au sud. Le point le plus haut de la commune, prés d’Egrenay, s’élève à

89 m, le point le plus bas au moulin de Vaux la reine, à environ 40 m.

Le périmètre de la commune, fixé le 15 janvier 1809, est de 22489 m.

 

La plus grande partie du terroir communal est occupée par des terres de culture : 743 hectares cultivés par six fermes cultivant légumes, fruits et autre. Les 628 hectares restant renferment les espaces publics (rues, places, pont, écoles, églises, Mairie, jardins municipaux, stades etc.) ainsi que les espaces privés (habitations, jardins et parcs.)

 

Situé à 27 Km de Paris, à 16 Km de Melun, chef-lieu du département, Combs-la- ville fait partie de l’arrondissement de Melun, administré par le commissaire de la république.

 

Une découverte d’argent faite sous Napoléon III sur le domaine de Vaux la reine, démontre que le site de Combs-la-Ville était occupé à la période Gallo-romaine.

 

Combs-la-Ville n’entre véritablement qu’au haut moyen âge, dans l’histoire écrite avec des documents véritables, mais peu nombreux. Le plus ancien semble être le testament de Dagobert 1er qui régna du début du VIIe siècle à 636. Dans ce document assez bref, paraît pour la première fois le nom de Cumbis villa.

 

Au début du IXe siècle la population de l’époque est très précisément connue : sur les 77 terres vivaient surtout des colons. Les hommes libres étaient assez peu nombreux. Au total 175 chefs de famille et 179 enfants ou parents, soit 354 personnes dénombrées. Les habitants devaient verser de nombreuses redevances.

 

Du X au XIVe siècle la terre de Combs-la-Ville, riche et peuplée, est l’objet des convoitises opposées des religieux et des seigneurs laïcs.

 

En 1487 le fief de Courtafeuf prendra le nom des nouveaux seigneurs : les sires Palaiseau, et deviendra Paloisel.

 

Du XVe au XVIIe siècle, Combs-la-Ville subit à plusieurs reprises les conséquences des troubles politiques et religieux.

 

Au 18e siècle, la révolution est accueillie sans heurt, peu à peu se mettent en place les nouveaux organismes de direction de la paroisse devenue commune. Le six mars 1791 est élu le premier maire, dont la famille habite toujours à Combs-la- ville. Le 30 septembre 1793 se réunit le premier conseil général de la commune.

 

Le 7 mai 1822 un arrêté interdit de fumer la pipe dans les rues de Combs-la-Ville. Hormis cet arrêté bizarre, une seule nouveauté, mais qui marquera définitivement l’évolution urbanistique de Combs-la-Ville : la création de la voie ferrée de Paris Lyon, ouverte en 1849. La population de Combs-la-Ville, dés lors, va s’accroître rapidement. De 1800 à 1861, elle fait plus que doubler, passant à 689 habitants.

 

Entre 1870 et 1871 la population de Combs-la-Ville subit des épreuves et des réquisitions suite, à la défaite de Napoléon III .

 

Avec les élections de 1888, triomphent les notables républicains qui prennent définitivement la succession des maires ruraux. Ils travailleront à l’amélioration des conditions de la vie municipale, aussi le XIXe siècle est caractérisé par des progrès d’utilité publique. La troisième république favorise également l’éducation des adultes, sans négliger les arts.

 

Au 20e siècle l’automobile fait son apparition, la vie municipale connaît un développement associatif non négligeable, malheureusement la guerre de 1914- 1918 vient interrompre cet essor : Combs-la-Ville perdra 59 personnes.

 

L’entre-deux-guerres est marqué surtout par la multiplication des lotissements. La mairie s’installa en 1932 dans le château des marronniers. La crise économique frappe Combs-la-Ville : en 1937, le conseil municipal refuse de prendre en considération la politique du front populaire, la guerre approche. Les allemands interrompent violemment la vie de Combs-la-Ville.

 

La plupart des Combs-la-Villais fuirent les allemands, Combs-la-Ville ne manifeste alors aucune opposition au maréchal Pétain, la libération de la ville est l’œuvre des américains le 26 août 1944. Combs-la-Ville inscrira alors 20 nouveaux noms aux monuments aux morts.

 

Dés 1954 Combs-la-Ville se repeuple : 500 habitants de plus qu’avant la guerre. De cette date à 1975, 17 lotissements collectifs vont augmenter le nombre des habitants qui quintuplera en vingt ans, passant de 2833 à 11205.

 

 

En 1960, Combs-la-Ville entre dans la nouvelle ville de Melun-Sénart, en 1975 on compte 25 000 habitants à Combs-la-Ville.

 

De 1977 à 1982, la municipalité crée trois groupes scolaires, un collège, deux centres de loisirs et un grand parc. Les salles de sport sont rénovées. En 1981 un nouvelle gare est crée. En 1982, une nouvelle gendarmerie, une crèche de 40 berceaux et une nouvelle poste voient également le jour.

 

Mais l’ampleur du développement de Combs-la-Ville n’a pas seulement un aspect urbanistique. Dans cette cité de moyenne importance, le taux de participation associative est l’un des plus élevés du département, en matière sportive, culturelle ou artistique.

 

Aujourd’hui Combs-la-Ville compte environ 22000 habitants.

 

(SOURCE CHRONIQUE DE COMBS-LA-VILLE)

Cet article a été réalisé par Oualid, Damien, Kader et Isma, élèves de CM2 en 2004.