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École élémentaire

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"Le Paloisel

Les bons, les brutes et les truands

  • Texte et mise en scène Christine Pellicane
  • Combats Philippe Maymat 
  • Décors, toiles Marion Lefèbvre François Boitière       Costumes Isabelle Boitière Stéphane Florenza Caroline Bonnin  
  • Lumières Thierry Capéran  
  • Illustration sonore Madame Miniature 
  • Chanson de Tamèrantong! Ludwig von 88
  • Avec 24 pieds tendres de Belleville de 6 à 11 ans, Julien Renon, Francis Lopez et de nombreux «intermittents»

Production Cie Tamèrantong! Ouikainde drôle, bête et méchant

Les bons,les brutes et les truands

 Avec notre classe, nous sommes allées voir un spectacle qui s'appelle: Les bons, les brutes et les truands.

Ce spectacle racontait l'histoire d'une jeune mariée nommée Roberta qui s'est fait enlever par   les brutes.

Les bons c'est-à-dire sa famille et ses ami(e)s sont allés demander de l'aide aux truands pour la délivrer. Ils y sont allés avec  les truands, mais Roberta ne voulait plus partir, elle voulait rester avec les brutes...

 Nous avons adoré ce spectacle créé par des enfants de notre âge, car il était très drôle et surtout  spectaculaire.

 Caroline Singarin et Alexandra Genoud (CM1)

 

Les bons, les brutes et les truands

Pièce de théâtre jouée par des enfants

L’histoire 

Serge, le metteur en scène, arrive, se place devant sa caméra et commence à tourner le film. 

Tout le monde bouge, s’agite, court dans tous les sens. Ce sont les bons. Enfin, les deux mariés apparaissent. Il s’agit de Jim et Roberta. Les jeunes mariés et leurs familles font la fête. Soudain, les brutes entrent en scène : ce sont les frères « Terreur ». Les frères « Terreur » sont d’horribles personnages aux habits sombres et sales. Les deux familles s’enfuient en laissant les mariés tout seuls. Jim essaye de protéger son épouse mais en vain. Les frères Terreur assomment Jim et emportent Roberta. 

Les familles se précipitent sur Jim évanoui. Quand celui-ci reprend connaissance, il se met dans une colère terrible, car il se rend à l’évidence : les frères Terreur ont enlevé son épouse.

Des personnes avec des revolvers, montés sur des chevaux, font leur apparition. Ce sont les truands. Il s’assoient à une table et jouent aux cartes. Jim les interpelle pour leur demander s’ils peuvent chercher Roberta. Ils demandent d’abord de l’argent. Tout le monde paie. Les truands acceptent. Ils partent à la recherche de Roberta.

 Peu après leur départ, les bons ont honte d’avoir envoyé des étrangers chercher leur amie. Ils décident d’aller la chercher eux aussi.

 De son côté, Roberta est chouchoutée. Les frères Terreur s’occupent de toutes les tâches ménagères : la vaisselle, le balayage, le repassage … et la tâche qu’ils détestent … nourrir les poules.

 Mais, les truands arrivent et ils essayent d’enlever Roberta. Celle-ci appelle les brutes. Les truands avec des revolvers et les brutes avec des balais se livrent une bataille. Évidemment, les hommes aux revolvers gagnent. Roberta se met à pleurer sur le sort de ses amis. 

Là, le metteur en scène, Serge, se met en colère. Il tente d’expliquer à Roberta que les hommes féroces, aux habits sales et sombres … ce sont ceux-là (il désigne les brutes) et que les hommes aux revolvers ce sont les autres (il désigne les truands). Il va enfin se remettre devant sa caméra et continue à tourner le film.

 Les bons arrivent. Jim se jette dans les bras de Roberta, mais celle-ci boude. Les bons aperçoivent des chandeliers en or pur et décident de les prendre. Là, Roberta se met en colère et leur dit que c’est le seul souvenir des brutes de leur vieille « Ma ». Les brutes se réveillent. Ils voient les chandeliers et proposent à Roberta de les lui donner en cadeau. Celle-ci se met à pleurer d’émotion et ne peut rien dire.

 Serge se remet en colère et explique à Roberta qui sont les brutes, les truands et les bons. Mais Roberta ne pense pas la même chose. Pour elle, les brutes sont peut-être bons, les truands sont brutes et les bons ne sont peut-être pas aussi bons que cela.

 Comme tout le monde est de l’avis de Roberta, Serge se met à pleurer, ce qui provoque le rire général.

 Mon avis :

 J’ai bien aimé cette pièce de théâtre parce que le jeu des acteurs (des enfants) était bon, que leurs accessoires étaient amusants (les chevaux des truands, les costumes des acteurs, etc.) et que l’histoire était drôle.

Anton (CM1)

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